mercredi 29 juin 2016

Où je suis - Valérie Tong Cuong




Où je suis Agnès est une chasseresse. Séductrice avisée, elle appâte, piège, capture, vampirise puis prépare le sacrifice : « C'est aujourd'hui qu'on tue le cochon. » Elle n'a qu'une seule idée : faire payer aux hommes l'obscur drame qui a refroidi son âme quinze ans auparavant. Seulement voilà, c'est elle qui succombe. Juste. Ce prénom résonne en elle comme une promesse. Et Agnès se met à croire qu'elle peut renaître à la vie... Le ton sans concession fait de Où je suis un récit noir et rose, doté d'une vraie force.

Editions J'ai Lu
Publié en 2009
156 pages
A propos de l'auteur : ici



Après avoir rencontré Valérie Tong Cuong au salon du livre de Saint Maur en Poche, j'ai eu envie de lire ce roman très vite.

Une histoire de femme, Agnès est femme blessée qui ne croit plus du tout aux sentiments et se sert des hommes pour juste pouvoir les séduire et les jeter jusqu'au jour où sa route croise celle de Juste.
Cet homme va lui redonner le sentiment d'être une femme, et faire renaître en elle des sensations oubliées. Une rédemption est-elle possible? Un espoir d'avenir différent? Mais cet homme est-il aussi parfait qu'il le semble?

L'auteure sait vraiment  nous montrer combien il est difficile que tout soit parfait, que l'espoir fait partie de notre vie, qu'on aspire à un changement mais que le chemin pour y accéder est bien souvent semé de vraies embûches .

Les personnages de Valérie Tong Cuong ont cette fragilité et cette force qui les rend vrais.
Agnès est un personnage complexe comme peut l'être n'importe quel être humain avec ses côtés obscurs, ses doutes, ses remises en question et son désir d'évoluer dans le bon sens.
Juste également présente de nombreuses facettes dont certaines sont vraiment odieuses et m'ont fait froid dans le dos.

C'est une tranche de vie, une rencontre, un espoir, une désillusion ... la vie tout simplement

Ecriture lumineuse, fluide et délicieuse qui emporte complètement.


Encore un petit bijou proposé par Valérie, à lire sans modération.



Lontano - Jean-Christophe Grangé




Éminence grise du pouvoir, Grégoire Morvan a connu ses heures de gloire en Afrique dans les années 80, en arrêtant au Zaïre « l'Homme clou », tueur en série au rituel atroce, inspiré des plus violents fétiches africains. 
Quarante ans plus tard, en France, les cadavres mutilés, criblés de ferraille et de tessons s'accumulent : la marque de « l'Homme clou », totem de la folie meurtrière née au plus profond de l'Afrique. Le passé trouble de son père - fantôme menaçant de sales affaires enterrées - rattrape alors Erwan Morvan, le meilleur flic de la crim'. 
Saga familiale, roman psychologique et roman noir, Lontano est une plongée verticale dans les ténèbres de l'âme, roman paroxystique et vertigineux, dérangeant comme ces rites primitifs qui nous fascinent et nous effarent.

Editions Albin Michel
776 pages  
Publié le 2 Septembre 2015
A propos de l'auteur : ici


Cela faisait un petit moment que je n'avais pas lu de romans de Jean Christophe Grangé mais je continuais à acheter ses livres dès leur sortie, quand on m’a offert Congo Requiem, la suite de celui-ci, je me suis dit qu'il fallait quand même que je sorte le premier tome de ma PAL rapidement et que je le commence.

Grangé est juste un magicien, en l'espace de 30 pages j'étais complètement accrochée par son intrigue et je n'avais qu'une envie continuer ma lecture pour savoir où il nous emmenait.

Histoire de meurtres, de passé et de pouvoir, c'est tout à la fois un univers, une enquête sordide et une saga familiale que l'auteur nous propose.

On enchaîne les personnages en passant de Erwan, le policier chargé d'enquêter sur les meurtres rappelant ceux de l' homme clou que son père a arrêté à Lontano au Zaïre dans les années 80, à son frère Loïc empêtré dans ses problèmes d'addiction et de couple, à sa sœur Gaëlle qui n'a de cesse de se détruire et de ravager la réputation de la famille et pour finir au père qui cache bien des secrets.
Tout cela nous donne un roman sans temps morts et au rythme soutenu.
Les scènes difficiles sont peut-être un peu moins nombreuses et un peu moins « gores » que dans d'autres romans de l'auteur mais elles sont tout de même très explicites et très visuelles.

L'intrigue est juste énorme et elle se déroule sans longueurs  avec juste ce qu'il faut de rebondissements pour nous passionner complètement.

La fin ne m'a pas totalement surprise car j'avais eu un doute à un moment mais j'ai énormément aimé la découverte finale.

 Evidemment quand le roman est sorti  et sans savoir si la suite allait arriver rapidement, il y a eu surement des déceptions car c'est une fin totalement ouverte.

L'enquête est résolue certes, le meurtrier découvert mais il reste encore bien des interrogations et des doutes sur l'histoire proprement dite de la famille Morvan et de la réalité de Lontano. L'avantage d'avoir déjà la suite dans sa bibliothèque m'a permis d'échapper à cette déception.

L'écriture est toujours aussi agréable, fluide et prenante complètement. Elle adhère totalement à la complexité de l'intrigue et lui donne encore plus de force.


Encore un super roman de Jean Christophe Grangé et Congo Requiem est dans ma PAL prioritaire donc il devrait être lu rapidement.



mardi 28 juin 2016

Salon du livre saint Maur en Poche 2016



Voici revenu le temps du salon du livre de saint Maur en Poche, dans un nouveau décor et un nouveau lieu, une station de RER plus loin.
Cette année c'est l’Angleterre qui est mise à l'honneur avec carrément la présence de la Reine et un bus à impériale.

Vous lirez partout et surtout des avis complètement dithyrambiques sur ce salon, je rejoins totalement les avis unanimes concernant la qualité, la convivialité et le bonheur que procure ce salon, mais je me dois d'être honnête et d'avoir une petite voix un peu discordante car il y a des points négatifs à améliorer sérieusement car ils gâchent tout de même un peu le plaisir du salon.

Je  vais commencer par les évoquer pour ensuite revenir à la joie d'avoir pu rencontrer tous ces auteurs que j'aime.

Le premier bémol tient au fait qu'on ne peut plus entrer dans le salon qu'avec 4 livres par personne, je suis venue avec une trentaine de romans qu'il a fallu que je laisse à la consigne. OK pas de problème, c'est Vigipirate...
Ma fille a fait donc les allers et retours des romans sauf qu'à son deuxième passage, elle s'est faite engueuler et on lui a gentiment dit que c'était la dernière fois qu'elle pouvait venir changer les livres..... Donc je me dis, toute cette publicité pour nous dire que le salon de Saint Maur c'est mieux que celui de Paris où on ne peut venir avec aucun livre, c'est juste devenu une publicité mensongère....

Deuxième bémol, le salon est certes plus grand mais les allées sont toujours aussi étroites et l'après-midi c'est toujours aussi compliqué de marcher au milieu de la foule, surtout dans les zones où se trouvent les auteurs les plus médiatiques type Marc Lavoine

Troisième Bémol, l'attente aux caisses qui rebute vraiment beaucoup. Perso j'ai la chance malchance d'avoir une carte d'handicapée station debout pénible et donc je ne fais pas la queue (je me fais juste fusiller du regard) mais pour ceux qui sont obligés de subir la file d'attente ça doit vraiment être décourageant, il faut vraiment que les organisateurs se penchent sur la question pour l'année prochaine.

Dernier point TRÈS NÉGATIF; le stationnement qui était soi-disant gratuit. J'avais pris la peine de demander à Gérard Collard et sur la page Facebook de l’événement s'il y avait des parkings gratuits comme les années précédentes. Il m'a affirmé que oui et sur le plan fourni par l'organisation, il y a avait 2 parkings qui étaient indiqués, celui de la mairie et celui de la Louvière.
Nous nous stationnons dans celui de la place de la Louvière. Premier doute, il n'est indiqué nulle part qu'il est gratuit mais bon je fais confiance aux organisateurs du salon, s'ils ont dit que c'était gratuit c'est que ça doit l'être !!!.
Sur le salon nous demandons confirmation à l'accueil où encore une fois on nous dit que c'est bien gratuit. Le soir nous repartons et afin de valider le ticket pour sortir, nous le passons dans la caisse automatique pensant que la somme qui s'afficherait serait de 0 euro et là surprise très désagréable...... 19 euros à payer.
Je règle donc le parking furieuse d'avoir été bernée et me promettant de demander le remboursement de cette somme que j'aurais préféré dépenser en romans à la mairie (puisque le parking est municipal). D’autant plus que surprise finale et non des moindres, en arrivant à la barrière de sortie, celle-ci s'est levée sans que nous ayons à mettre le ticket.
La mairie jointe par téléphone lundi matin m'a AFFIRME que JAMAIS il n'avait été question que les parkings soient gratuits, que la barrière qui se levait sans mettre le ticket était due à un bug et que donc c’était normal d'avoir payé.
J'ai ensuite posé la question à Gérard Collard, qui m'a répondu qu'ils allaient voir avec la mairie parce que pour lui c’était une erreur...., j'attends toujours la réponse.....

Voilà maintenant que je me suis lâchée sur les choses désagréables je vais pouvoir enfin parler des choses positives et tellement magnifiques de ce salon : la rencontre avec les auteurs.

Avec Delphine ma fille et Elisabeth ma cousine ,j'ai eu la chance et le plaisir de rencontrer le samedi :

Bob Garcia dont je venais de finir Les spectres de Chicago et avec qui j'ai pu discuter de son roman et lui dire combien j'avais aimé le roman... sauf la fin du livre que je n'ai pas comprise du tout. Sa voisine était Gaelle Perrin -Guillet que j'ai eu grand plaisir à revoir et à qui j'ai pris Soul of London.
Puis je suis partie à la rencontre de Nathalie Hug et Jerome Camut dont je n'ai pas encore eu le bonheur leurs œuvres tant communes qu'individuelles.
Ensuite grand moment, les retrouvailles avec un de mes auteurs chouchou : Olivier Norek, je suis repartie avec deux délicieuses dédicaces et la bise de l'auteur... que du bonheur.
Stéphane Marchand est un auteur que j'ai découvert avec Maelstrom et que j'ai continué à suivre via sa collaboration avec Fabio Mitchelli sur Dolly's Bible, j'en ai profité pour lui prendre son dernier roman : nos rêves indiens.
Nous nous sommes dirigées toutes les trois vers un trio bien sympathiques de très bons auteurs:
Jacques Saussey a qui j'ai pris Le loup peint, Claire Favan qui m'a dédicacé Miettes de sang et Nicolas Lebel qui a mis quelques mots sur Sans pitié ni remords.
Nous avons fini la matinée avec l'incontournable Karine Giebel à qui j'ai fait dédicacer son dernier roman : De force.

Nous sommes parties déjeuner dans une brasserie à côté de la gare RER. Nous avons pris la navette (un point très positif de ce salon) et comme une vraie cruche, j'ai laissé le sac dans lequel j'avais mis les romans achetés dans la navette. Petit moment de panique mais j'ai eu beaucoup de chance car quand celle-ci est revenue, mon sac m'attendait très gentiment sous le siège.... oufffff.

De retour au salon, nous enchaînons les auteurs

Sandrine Collette à qui je fais dédicacer Il ne reste que la poussière, puis Sonja Delzongle que je voulais voir afin de lui parler de Quand la neige danse.
Yasmina Khadra, un de mes auteurs préférés comme vous le savez, toujours aussi charmant et drôle me dédicace, ses deux derniers livres.
Je vois également Angelique Barberat dont je n'ai pas encore découvert la plume puis c'est Katarina Bivald qui me dédicace ses deux romans que j'ai adoré (surtout la bibliothèque des coeurs cabossés)
Nous voyons également Romain Puertolas puis Fabio Mitchelli que j'ai grand plaisir à retrouver. Je suis venue avec la Compassion du diable et Dolly's bible.
Victoria Hislop est la marraine de l'édition et je me fais plaisir en prenant les deux romans que je n'ai pas encore : la ville orpheline et une dernière danse.
Nous finissons notre périple par Alexis Aubenque, très bavard mais d'une gentillesse extrême, Ingrid Desjours toujours aussi charmante, Gaelle Nohant dont j'ai découvert le roman dans le cadre du prix du livre Poche et que je vais retrouver le mardi suivant dans la visite du mémorial du bazar de la Charité et  Isabelle Stibbe dont le roman Bérénice 34-44 m'avait beaucoup plu l'année dernière toujours dans le cadre du prix du Livre de Poche

Énorme déception, Jean Christophe Grangé a annulé sa participation et dire que j'avais transporté ses deux derniers pavés....
Bob Garcia

Nathalie Hug et Jérôme Camut

Olivier Norek

Jacques Saussey et Alexis Aubenque

Claire Favan

Nicolas Lebel

Nadine Monfils

Stéphane Marchand

Angelique Barberat

Katarina Bivald

Sonja Delzongle

Nicolas Lebel

Karine Giebel

Yasmina Khadra

Gaëlle Nohant
Victoria Hislop

Romain Puertolas

Isabelle Stibbe

Sandrine Collette

Fabio Mitchelli
Ingrid Desjours

Nous revenons faire un tour le dimanche après-midi (cette fois je ne me faite pas avoir avec le parking)

J'ai  le plaisir de retrouver Valérie Tong Cuong, une auteure que j'adore et  à qui j'ai pris Gabriel, un de ses rares romans que je n'avais pas encore puis je me dirige vers Virginie Grimaldi, dont j'ai découvert le roman dans la sélection du prix du livre de poche, une auteure adorable à qui je souhaite vraiment un immense succès.
Ensuite je suis ravie de pouvoir aller voir Agnès Ledig pour pouvoir lui acheter Pars avec lui.
Voici venu le moment de prendre place dans la file d'attente pour Caryl Ferey, ça va il y a peu de monde, nous sommes en 4 ème position mais déjà derrière nous la file s'agrandit.
L'auteur arrive à 15 heures et s'installe pour commencer les dédicaces et tout à coup nous voyons arriver une jeune femme qui nous dit tranquillement " nous sommes désolés mais monsieur Ferey est attendu pour une interview et donc il ne signera les romans que jusqu'à la personne qui nous précédait," je demande à la dame si elle plaisante, elle me répond que non, que nous pouvons suivre l'auteur pour l'interview et qu'ensuite il reprendra les dédicaces sur le lieu de l'interview. Je fais remarquer que cela fait 5 minutes qu'il a commencé à dédicacer, que ce n’est pas vraiment logique de le faire repartir tout de suite et je lui signale que j'ai une carte d'handicapée et que je n'ai envie de faire une deuxième fois la queue...elle se range à mes arguments et signale à la personne qui nous suit que la dédicace s'arrêtera après nous...
Bref j'ai eu ma dédicace, j'ai même acheté la saga Maorie mais je reste dubitative sur l'organisation....
Nous partons en direction de Sophie Loubière et ensuite nous finissons par Franck Bouysse, un auteur que j'ai découvert avec Grossir le ciel, roman que j'ai vraiment aimé, du coup j'ai pris Plateau pour continuer ma découverte de l'auteur.
Ma fille est tombée sous le charme de la quatrième de couverture d'un roman de Jérôme Attal, Folie furieuse et nous voici avec un livre supplémentaire dans le panier.
Valérie Tong Cuong

Agnés Ledig

Virginie Grimaldi

Caryl Ferey


Anny Duperey

Franck Bouysse

Sophie Loubiere
Il me reste à raconter mes rencontres avec les camarades de Read, ça sera rapide car je n'ai rencontré en fait que Karine, Stef et Kriss, j'ai aperçu Christelle mais on n'a pas réussi à se retrouver plus longuement. 
J'ai croisé d'autres Readers dans les allées mais si j'ai une bonne mémoire visuelle des visages ce n'est visiblement pas le cas de ceux que j'ai vu car personne n'a donné l'impression de me reconnaître, donc je n'ai pas eu le courage ni l'envie de les aborder... tant pis ce sera pour un autre salon .... ou pas.

Voilà le salon du livre de Saint Maur est terminé pour nous, nous repartons avec plein de souvenirs et des paillettes plein les yeux. Ce salon est vraiment génial, c'est le plus sympathique et le plus convivial sans conteste.
 Les auteurs sont tous disponibles et excessivement agréables.
Malgré les petits et le gros bémols, c'est un salon que je ne raterais pour rien au monde. 
Ma PAL s'est encore agrandie mais ce n'est que du bonheur.


Le salon 2016 est mort, vive le salon 2017...

dimanche 26 juin 2016

Quand l’imprévu s'en mêle - Alex Riva




Après une semaine magique en Grèce, l’heure du retour à Paris et à la réalité a sonné pour Emma, Alice, Andréa et Chloé, nos quatre femmes formidables. Mais pas question pour autant de retomber dans les travers du quotidien. Leur séjour a été l’occasion de nombreuses remises en question, et chacune est bien décidée à reprendre sa vie en main. Pour leurs hommes aussi, cette grève a été l'occasion de réfléchir, et tous semblent prêts à prendre un nouveau départ. Pourtant, pas si simple d’appliquer ses bonnes résolutions lorsque l’imprévu s’en mêle… Nos héroïnes vont devoir modifier leurs plans, d’autant plus que l’une d’elles s’apprête à vivre une terrible épreuve. C’est le moment pour les quatre amies de se serrer les coudes. Et qui sait, l’imprévu, bon comme mauvais, leur réservera peut-être de belles surprises?

Editions Denoël
Publié en 2016
288 pages
A propos de l'auteur : ici


Voici donc la suite du roman "la grève des femmes formidables" dans laquelle nous retrouvons nos 4 héroïnes au retour de leur voyage en Grèce.

Remise à flot par leur "grève», elles sont bien décidées à ne plus refaire les mêmes erreurs et à prendre leur vie à bras le corps.
Chacune d'elle est revenue de Grèce avec des questionnements mais aussi l'envie de ne plus replonger dans les travers précédents.

Dans cette suite nos personnages vont être confrontés à des moments de joie, de doute mais aussi de douleur.
Les événements vont s’enchaîner et les rebondissements ne vont pas manquer.
Toutes nos femmes formidables vont vivre des moments compliqués mais également des instants heureux qui viendront contrebalancer la douleur ou le doute et leur amitié si forte sera encore renforcée face à l'adversité.

Un nouveau personnage viendra rejoindre leur grande famille et ce personnage apportera beaucoup à leur nouvelle vision des choses.

Les hommes ne sont certes pas en reste, on les voit composer avec la nouvelle situation avec plus ou moins d'enthousiasme et de succès.

Ce qui est intéressant dans ce roman, que j'ai préféré au premier tome, c'est qu'il aborde des thèmes sérieux et même douloureux tout en restant dans la légèreté. Il n'y a rien de plombant, ni de larmoyant mais l'émotion est bien présente tout en proposant également un côté joyeux et festif.

L'écriture est simple mais attrayante et le roman se lit vraiment d'une traite.


Un grand merci aux Editions Denoël pour cette lecture bien agréable.